Qui sommes-nous ?


Xavier Rebeyrat, âgé de 27 ans, après un BTS Gestion et Protection de la Nature à l'École Supérieure d'Agriculture d'Angers, il a rejoint une grande association en tant qu'expert naturaliste durant plusieurs années.

Aujourd'hui il est paysan - apiculteur.

 

 

 

Gaëlle Gendry, âgée de 28 ans, est titulaire d'un Master en Environnement et a travaillé deux ans en tant que chargée de mission au sein d’une grande association naturaliste. Après différentes expériences bénévoles dans des fermes, elle a obtenu un BPREA au CFPPA de Melle pour engager sa reconversion agricole.

 

 

Le début de l’histoire...


En 2013 nous avons l’opportunité de quitter nos emplois respectifs et de commencer un BPREA maraichage pour Gaëlle et une formation de terrain en apiculture pour Xavier. Fin 2014 les premières orientations déclinent plus précisément et les objectifs du projet sont définis.

 

Qui dit ferme, dit production. Dans ce cas se sera avant du tout du maraîchage et de l’apiculture. Ces deux productions seront donc intégrer dans le projet. Dans la mesure du possible, la totalité de la production sera vendue en vente directe et en circuit court.

 

Suite à notre cursus, la question de l’agriculture biologique ne se posait même pas, c’est une évidence pour nous.

 

Après la mise en place de la production, devraient arriver d’autres activités. Notamment l’accueil à la ferme, à la fois pédagogique et gites. Ces activités ne démarreront réellement que lorsque les productions agricoles seront effectives et dès que les conditions le permettront.

 

Ce projet s’inscrit dans une dynamique solidaire et de développement local. Il existe une sensibilité croissante dans l’opinion publique pour une nourriture de qualité, sensibilité exacerbée par les problèmes grandissants d’obésité et les risques encourus par la « malbouffe ». L’agriculture dite conventionnelle avec les pesticides et autres produits phytosanitaires montre ses limites avec des effets néfastes sur les sols, la santé et une productivité décroissante selon de nombreux experts si l’on inclut les externalités environnementales et sanitaires.

 

Notre ferme sera donc, alternative, comparée à l’agriculture conventionnelle, mais également par ses modes de production, par sa taille, par son accueil, par son côté pédagogique, et par notre volonté de chercher à nous écarter d’un modèle imposé, déresponsabilisant, et très éloigné d’orientations raisonnables pour l’avenir de l’humanité.